Étude d’un ouvrage de référence :
René Désaguliers, Les deux grandes colonnes de la franc-maçonnerie, Paris, 1995 – Thématiques, problèmes, discussion – 2e partie
(Tenue du 6 octobre 2010)
Roger Dachez
On a vu, jusqu’à présent le problème de la position des colonnes selon l’archéologie. On a vu la disposition probable, à peu près certaine et réelle des colonnes. On a vu, ensuite, que dans la tradition des textes maçonniques – et notamment les Anciens Devoirs – on parle très peu du temple de Salomon ; en revanche, on parle beaucoup, dans le Cooke et le Regius, de deux colonnes, qui ne sont pas les deux colonnes du temple de Salomon, mais qui sont deux colonnes antérieures au Déluge, auxquelles sont associés un savoir et une connaissance. Il est vrai que les manuscrits Regius et Cooke ne sont pas à proprement parler des textes maçonniques ; ce sont des textes qui ont été utilisés par des francs-maçons opératifs sur des chantiers du Moyen Age ; ça n’a rien à voir avec les textes maçonniques postérieurs. On peut comprendre alors que la fonction d’une colonne dans un bâtiment n’ait pas été une préoccupation principale. Parce que des colonnes, ça soutient ; ça supporte. La Bible nous en donne le nom des colonnes du Temple et n’en dit guère plus. On ne nous dit pas qu’il y avait un récit sur ces colonnes ou qu’on pouvait les ouvrir et qu’il y avait quelque chose à l’intérieur. D’où a-t-on tiré l’idée que les colonnes vont nécessiter une interprétation, un examen ? Toujours est-il que, dans les colonnes maçonniques finales du temple de Salomon, il y a une sorte de superposition des colonnes archéologiques et des colonnes d’avant le Déluge. Je voudrais signaler qu’il y a un autre exemple de ce type dans la tradition européenne et chrétienne où le mot « colonne » est lié à la notion de « vérité » et « d’enseignement ». Dans le Nouveau Testament, on parle de « colonnes » ; Pierre et Paul sont deux « colonnes » de l’Église. Le terme a été utilisé dans la tradition chrétienne. Et comme l’évolution de la Maçonnerie va se faire dans le monde protestant anglais où l’on s’intéresse beaucoup à la Bible – on peut supposer qu’on a eu l’idée d’associer aux colonnes, des êtres et des savoirs ...
Echanges
Un Frère :
Ces colonnes d’avant le Déluge : ce n’est pas biblique ! Si les Anglais ont à faire spontanément une référence aux colonnes, quelqu’un qui a un minimum de connaissances de l’Ancien Testament va renvoyer aux colonnes du Temple, évidemment.
Roger :
Certes, c’est dans Flavius Josèphe qui mentionne les colonnes ante diluviennes, ce qui a été récupéré par les Pères de l’Eglise qui y ont fait quelques allusions. Donc, ça a été récupéré dans la tradition chrétienne. J’ai vraiment le sentiment que les colonnes « maçonniques » du temple de Salomon « maçonnique » sont les colonnes archéologiques du temple biblique auxquelles on a attribué quelque chose des colonnes d’avant le Déluge. Alors, on obtient des colonnes qui sont, en quelque sorte, des porteuses de message. Alors que ce n’était pas du tout le cas des colonnes de l’archéologie biblique.
Ce même frère :
Au sujet de la place architecturale et traditionnelle des colonnes, quand on pense que le temple était orienté à l’Ouest, si la loge se tient effectivement sur le parvis, il est clair que la colonne B est au Nord.
Roger Dachez :
Il est clair que l’attribution J et B au Nord et au Sud repose sur des arguments tirés des textes bibliques. On cite toujours le passage du Livre des Rois, mais il y a d’autres passages où l’on nous dit : « Tel endroit se trouve au Sud, c’est-à-dire du côté de la colonne J » ou bien « Tel endroit se trouve au Nord, c’est-à-dire du côté de la colonne B ». Et Flavius Josèphe dit que la colonne J était au Sud donc, B est au Nord. Comme si c’était une évidence. Et puis, derrière, il y a l’autre problème que l’on évoquera plus tard qui est le temple et la loge. Est-ce que le temple est la loge ou est-ce que le temple est autre chose que la loge. Malheureusement, la réponse de la tradition maçonnique, c’est : « les deux, mon Général ! »
Un Frère :
Je pense aussi que ça peut être une récupération des obélisques égyptiens qui sont devant le temple et qui étaient destinées à faire la jonction entre la terre et le ciel.
Roger :
On s’est beaucoup intéressé sur le rôle des colonnes du temple de Salomon. Tel que c’est écrit, elles n’ont pas un rôle architectonique : elles ne supportent rien, elles ne soutiennent rien. Donc, naturellement, on peut les assimiler ou les rapprocher des obélisques ou des pylônes qui sont présents devant la plupart des temples égyptiens.
Devant la plupart des temples de modèle égyptien, il y a deux structures érigées. N’oublions pas que la Palestine biblique est un secteur d’influence égyptienne. Dans la réinterprétation moderne de l’histoire ancienne du peuple juif, on ne pense plus du tout que le peuple juif est sorti d’Égypte au sens où les Hébreux, conduits par Moïse, seraient sortis de la captivité d’Égypte mais que des populations diverses, plus ou moins libres, de la Palestine sont sorties d’Égypte et on a plusieurs attestations à Babylone. Ces populations sont sorties d’Égypte au sens où elles se sont affranchies de la suzeraineté égyptienne. Et on disait « sortis d’Égypte » quand on disait « échappé à la suzeraineté égyptienne ». Ainsi cette zone est une zone d’influence culturelle importante et il n’est pas impossible que le temple de Jérusalem ait subi cette influence égyptienne de même que d’autres sanctuaires palestiniens de l’époque.
Ce que je veux surtout dire, c’est que les colonnes du temple maçonnique de Salomon, telles que les voient les Francs-Maçons, ce ne sont pas uniquement des colonnes décoratives ou qui font la jonction du ciel et de la terre, ce sont des colonnes auxquelles sont associés des enseignements qu’il s’agit d’interpréter. Et j’ai formulé une l’hypothèse sur l’origine de cette idée.
Page 29 – Chapitre III – Le problème de l’inversion des mots des deux premiers grades :
C’est un chapitre qui n’existait pas dans le livre originel de René Guilly-Désaguliers. Je l’ai écrit il y a quinze ans parce qu’en 1986, il y avait eu une publication très importante de Colin Dyer qui nous avait amené à réfléchir sur un certain nombre de points que l’on n’avait pas vus jusque-là alors que l’on pensait vraiment qu’il y avait eu une inversion qui datait des années 1730-1739 expliquant la distinction des Rite « Moderne » et « Ancien ».
Page 31 – après la lecture de la note de bas de page :
C’étaient ces fameux Vénérables de loges de Paris qui n’avaient pas voulu rejoindre le Grand Orient parce qu’ils n’auraient plus été Vénérables à vie. Ça s’est terminé en 1799.
Echanges
Un Frère – Est-ce que cela veut dire qu’il est complètement aberrant de soutenir qu’il s’agirait de ceux qui voulaient maintenir la tradition « écossaise » ; est-il cohérent de parler des « Anciens » en France à cette époque-là ?
Roger Dachez – Les Anciens, en France à cette époque-là, sont totalement inconnus.
Page 32 – après la fin du paragraphe « Rite des Modernes, rite des Anciens » :
Jusqu’en 1804, on ne connaît, pour les grades bleus qu’un seul type de rituel que l’on va commencer à appeler, dans les dernières années du XVIIIe et les premières années du XIXe, « Rite Français ». C’est le rituel directement inspiré des « Modernes » avec l’ordre J et B. C’est la seule tradition maçonnique, la plus ancienne, qui était connue en France pendant tout le XVIIIe siècle. Je signale qu’il a existé à partir du dernier quart du XVIIIe siècle, en France, des loges bleues qui se qualifient de « loges écossaises » et qui se caractérisent par la disposition écossaise des chandeliers, comme dans le « Rectifié ». Néanmoins, ces loges bleues « écossaises » de la fin du XVIIIe siècle ne diffèrent des loges du « Rite Moderne » que par la disposition des chandeliers ; la disposition des Surveillants est toujours la même et l’ordre des deux mots sacrés est toujours le même : J et B. Ce sont donc des Loges de la tradition des « Modernes » et pourtant « écossaise »…
Page 32 – Rite français, rite écossais :
Après la fin du premier paragraphe de la page 33 : c’est la préparation nécessaire à la question de l’inversion des colonnes, c’est-à-dire des Mots. Tout cela doit être manié avec prudence et avec précaution parce que quand on essaie d’envisager les problèmes à l’aulne de la situation maçonnique du XXe siècle, on mélange tout. Le Rite Français, qui est le seul rite maçonnique en France au XVIIIe siècle ne s’appelle « Rite Français » qu’à partir de la fin des années 1780 et a comme caractéristique de n’être pas français, mais d’être anglais. Le « Rite Ecossais », qui n’est pas un rite, mais un ensemble de rites, concerne à la fois les hauts grades et les grades bleus. Et, en ce qui concerne les grades bleus, il ne porte que sur la disposition des trois chandeliers dont l’origine est inconnue, mais qui apparaît, en France, et qui n’a aucune source écossaise identifiée. En dehors de ces aspects-là, le point le plus important est, que ce soit un rite écossais au sens du XVIIIe siècle ou que ce soit un rite français au sens de la fin du XVIIIe siècle, ces deux types de rites, qui d’ailleurs comportaient des variantes, sont des rites « modernes ». Tous les deux sont « modernes ». Et par quoi se caractérise fondamentalement le rite « moderne », celui de la première Grande Loge ? Deux éléments majeurs : un Vénérable à l’Orient, deux Surveillants à l’Occident et l’ordre des mots sacrés : J au premier grade et B au deuxième grade. Ce sont deux marqueurs très simples. Quand vous voyez un rite qui comporte ces deux caractéristiques, c’est un rite « moderne ». Exemple : le Rite Ecossais Rectifié est un rite « moderne ». Et le Rite Français est un rite « moderne ». Par contre, le Rite Ecossais Ancien et Accepté est un rite « ancien » parce qu’il y a une disposition différente des Surveillants et l’inversion des mots sacrés. La question de l’inversion des mots est inconnue en France jusqu’en 1815.
Page 35 – à la fin du quatrième paragraphe :
Il faut souligner ce dernier passage. Quand on dit que « le Rite Français a pratiqué un ordre inversé par rapport à l’ordre traditionnel », de quel ordre traditionnel parle-t- on ? On parle de la réalité archéologique. La réalité archéologique du Temple de Salomon, comme on l’a rappelé en détail dans le tout début du livre, aujourd’hui assurée est que B est au Nord et que J est au Sud. C’est ce que l’on appelle « l’ordre traditionnel. » On n’est pas du tout en train de dire, c’est tout le problème, que c’était le premier ordre des mots sacrés utilisé par la Franc-maçonnerie, par exemple en 1717 ; ordre qui, pour toute une série de raisons, on aurait inversé à une certaine époque entre 1730 et 1739 par les « Modernes » et que les « Anciens » auraient rétabli dans l’ordre initial. C’est, néanmoins, la thèse qui va être acceptée tout au long du XVIIIe siècle et qui fait que, en 1809 – donc, bien avant l’Union de 1813 – de sa propre autorité, convaincue de sa propre erreur, la Grande Loge des « Modernes » va rétablir ce qu’elle va appeler « l’ordre ancien » des mots sacrés, avant l’Union de 1813. Vous voyez bien que le mot « ancien » est complètement ambigu : il faut dire l’ordre « des Anciens » ; que les Anciens disaient être le plus ancien... sans nullement faire référence à l’archéologie ; on disait : « Cela a toujours été comme cela et les « Modernes » l’ont inversé. » Et les « Modernes » ont dit : « Oui, c’est vrai, ils ont raison, on a fait une bêtise, on va revenir à l’ordre ancien. » Alors qu’il aurait fallu dire : « à l’ordre des Anciens » ; C’est une question de politique maçonnique.
Vous voyez que ce préambule était très important pour montrer à quel point toute cette histoire de Rite « Moderne », Rite « Ancien », Rite Français, Rite « Ecossais » du XVIIIe siècle, est très compliquée parce que ces mots sont souvent extrêmement trompeurs. Et le problème auquel nous sommes confrontés (si nous faisons fi de son côté volontairement politique ou polémique) est le suivant : à partir de 1753, les « anciens » disent connaître le véritable ordre des mots sacrés et que les Modernes pratiquent un mauvais ordre J et B. Un mauvais ordre ? Mais où a-t-on une preuve que l’ordre B et J ait été pratiqué antérieurement ? Des auteurs tardifs du XVIIIe siècle, notamment William Preston, ont constitué cette histoire d’inversion des mots et l’ont située entre 1730 et 1739. Et c’est à cause de cela, en France, alors que tout au long du XVIIIe siècle, toutes les loges de tous les rites, y compris les rites dits « Ecossais », pratiquent l’ordre J et B – parce que les rites « Ecossais » en France ne sont pas Anciens mais sont Modernes au XVIIIe siècle- qu’à partir du XIXe siècle, lorsqu’un nouveau arrive sur le marché maçonnique – c’est-à-dire le Rite Ecossais Ancien et Accepté qui vient des loges américaines pratiquant la Maçonnerie de rite Ancien – on va désormais avoir deux systèmes symboliques présents sur le territoire français : le système maçonnique Moderne – J et B, deux Surveillants à l’Occident et un Vénérable à l’Orient – et le système des Anciens – un Surveillant au Sud et un Surveillant à l’Ouest et l’ordre B et J. Avec la position officielle admise par la Grande Loge d’Angleterre elle-même, quatre ans avant la réunification que ce sont les Modernes qui se sont trompés ou, plutôt, qui avaient, délibérément, interverti cet ordre, cette thèse sera soutenue sans discussion pendant des dizaines d’années et jusqu’au milieu des années 1980 où un certain nombre de recherches ont permis de mettre très, très gravement en cause cette idée.
Mais ceci sera pour notre prochaine tenue ! Tout ce que l’on peut dire aujourd’hui, c’est que l’on ne sait pas s’il y a eu une inversion délibérée. On ne peut pas dire que, selon la thèse classique, il y eu quelqu’un qui a décidé d’intervertir l’ordre initial. On peut simplement constater les différences entre les deux système « moderne » et ancien » et ceci peut déboucher sur des conclusions plus intéressantes que la thèse classique sur le plan maçonnique et traditionnel.
Echanges
Un Frère :
Pourquoi le Rite Ecossais Ancien et Accepté en France pratique un rite « Ancien » au niveau des grades bleus ?
Roger Dachez :
Quand les fondateurs du Suprême Conseil de France sont arrivés en France en 1804, ils s’intéressaient à un système de hauts grades, du 4e au 33e. Ils ont pris un accord avec le Grand Orient et ils sont devenus le Suprême Conseil du Grand Orient qui, lui, agrégeait tous les systèmes de hauts grades à l’époque, tous les uns après les autres – Cambacérès étant le Grand Maître de tous les systèmes de grades. Il se trouve qu’ils ont eu rapidement un conflit sur l’administration des hauts grades et une partie du Suprême Conseil a quitté le Grand Orient de France au bout de quelques mois. Ce qui veut dire qu’une partie du Grand Orient de France a conservé une partie du Suprême Conseil et ce qui explique qu’il y a le Rite Ecossais Ancien et Accepté et un Suprême Conseil au Grand Orient de France. Et la partie qui a quitté le GODF a dit : « C’est nous le Suprême Conseil ; eux, ce ne sont pas les vrais. » Le problème du Suprême Conseil qui a quitté le Grand Orient, c’était de dire : « Comment allons-nous nous soucher sur les loges bleues ? » Il aurait fallu avoir des loges bleues qui ne pouvaient être que des loges du Grand Orient de France… Donc, ils ont créé leurs loges « bleues » directement sous la dépendance du Suprême Conseil – il y a eu une obédience symbolique qui a été créée – mais, pour se différencier du GODF, ils n’ont pas voulu prendre le rituel du Grand Orient de France qui venait d’être publié (fixé en 1786, mais imprimé en 1801). Ils n’ont pas voulu, au moment où ils quittaient le Grand Orient, donner à leurs loges le rituel qui venait d’être publié par le Grand Orient ; et ils se sont dit qu’il fallait un autre rituel. Et comme la plupart des fondateurs avaient appris la Maçonnerie dans les Antilles anglaises dans des loges où l’on pratiquait, majoritairement, le Rite Ancien, ils ont, tout simplement, repris le Rite Ancien et ils l’ont traduit et adapté, ce qui fait que le Rite Ecossais Ancien et Accepté des grades bleus de 1804 n’est pas exactement le Rite des Anciens.
Arrêt de la lecture : page 35 – « La thèse de l’inversion ».
Synthèse proposée par le Secrétaire
Rappel des chapitres précédents :
Dans le premier chapitre, René Désaguliers étudiait cette question du point de vue de l’archéologie biblique. Il ne fait pas de doute que la colonne Jakhin est au Sud et Boaz au Nord.
Dans le second chapitre, on apprend que dans les Anciens Devoirs (dont les deux premiers ne sont pas à proprement parler maçonniques mais révèlent des usages de la maçonnerie médiévale) s’il y a bien 2 colonnes, il ne s’agit pas des colonnes du Temple de Jérusalem mais des colonnes ante diluviennes sur lesquelles sont inscrites toutes les connaissances humaines. Apparaît donc ici l’idée de colonnes contenant des connaissances.
Dans les Ecritures, on se rappellera que Pierre et Paul sont aussi associés à des colonnes de l’Eglise nouvelle (les Juifs et les Gentils). La spéculation sur les colonnes du Temple de Jérusalem apparaît en Ecosse au XVIIe siècle et est attestée en 1691 dans les écrits du pasteur Robert Kirk.
Début du 3ème chapitre. Il a été rédigé par Roger Dachez compte-tenu des connaissances nouvelles sur la question de « l’inversion des mots ». On s’apercevra que nous sommes ici comme dans une enquête policière : nous cherchons à résoudre un problème –l’inversion des mots- et nous finirons par découvrir que la vraie question n’est peut-être pas là… Examinons donc courageusement la question.
Il faut déblayer le terrain sur le plan du vocabulaire : Rite Moderne, Français, Ecossais, Ancien. S’il existe bien deux grandes traditions (Modernes : Maître à l’Est et Surveillants à l’Ouest, Jakhin au Nord et Boaz au Sud ; Anciens : Maître à l’Est, 1er Surveillants à l’Ouest, 2ème Surveillant au Sud, Boaz au Nord et Jakhin au Sud ) l’opposition Moderne-Français/Ecossais-Ancien est relative, attendu qu’il existe des rites écossais modernes (Rite Ecossais Rectifié, Rite Ecossais Philosophique) et que le rite français est principalement un rite anglais…
Par ailleurs si, au vu de l’archéologie biblique, les « Anciens » ont raison, faut-il en conclure pour autant qu’il y a eu inversion des termes par les « Modernes » ? C’est ce que nous étudierons la prochaine fois.